Argenterie

Baguier du XIXème.

- Hauteur : 26 cm.

- Largeur : 18 cm.

- Poids : 2,100 Kg.

Réf : 73YM151

Formulaire de contact

Boîte à bijoux, fin XIXème début XXème.

Longueur : 14 cm.

Largeur : 10 cm.

Hauteur : 8 cm.

Réf : 73YM85.

Formulaire de contact

Cinq pièces en métal argenté provenant d'un hôtel Anglais. 

Estampillé et numéroté WISKEMANN.

Fin XIXème.

Réf : 73YM55

Formulaire de contact



Un peu d'histoires: 

 

La manufacture d'Orfèvrerie  Wiskemann fut fondée en juillet 1872 par Otto Leonhard WISKEMANN, issu d'une longue lignée d'orfèvres originaires de Cassel.  Dès 1900, il associa ses fils Otto et Albin WISKEMANN à la direction de l'entreprise. En 1907, Otto Leonhard WISKEMANN fit construire une deuxième usine à Zurich, sa ville natale. Il désirait prendre la direction de celle-ci et laisser celle de la maison mère à ses fils. Si son décès en 1909 l'empêcha de réaliser ses vues, Otto et Albin Wiskemann n'en poursuivirent pas moins l 'oeuvre de leur père en établissant des succursales de vente dans plusieurs grandes villes de Belgique, et en France dès 1910. A celles-ci, s'ajouta une troisième usine construite la même année à Milan. Ils n'en négligèrent pas pour autant le développement de la maison mère.

 

En 1913, ils constituèrent la société en nom collectif  Otto et Albin Wiskemann orfèvrerie Wiskemann.

 

En 1920, ils choisirent la zone industrielle de Forest, alors en pleine expansion pour bâtir une usine moderne et bien équipée s'étendant sur 12.000 m2. Elle comprenait de nombreux départements tels que les laminoirs et étirages, les ateliers de moulage, d'emboutissage et d'estampage ainsi que la fonderie d'alliage de nickel. Celle-ci mit au point un alliage d'acier inoxydable contenant 18 % de chrome et 8 % de nickel qui joua un rôle très important dans la renommée de l'entreprise.

 

En 1924, la maîtrise de ce procédé lui assura une grande réputation auprès des compagnies transatlantiques, des grands hôtels et des hôpitaux mais elle continua à produire également des articles d'orfèvrerie traditionnels. Ceux-ci étaient fabriqués à base de maillechort ou métal blanc selon la méthode d'électrolyse mise au point à la fin du XIXème siècle. Son contrôle particulièrement soigné par l'entreprise assurait une couche d'argent uniforme garantissant une longévité exceptionnelle.

 

En 1928, la société en nom collectif fut dissoute tandis que son savoir était transmis à une   société anonyme  sous  la dénomination  d 'Orfèvrerie Wiskemann. Aux côtés d'Otto et Albin Wiskemann, actionnaires majoritaires figuraient entre autres la Banque de l'Union bruxelloise. L' Orfèvrerie Wiskemann remporta de nombreux prix dans les expositions universelles qui se sont succédées jusqu'en 1958. Les 11 et 25 mai 1944, son usine fut partiellement détruite par des bombardements qui touchèrent entre autres une grande partie des archives.Dans l'immédiate après-guerre, le conseil d'administration de l'entreprise fut entièrement renouvelé suite au décès d'Otto Wiskemann, le 20 mars 1946 ainsi quà la démission de son frère et de son plus proche collaborateur en juillet 1948. Si d'autres membres de la famille Wiskemann participèrent à la gestion de la société pendant cette période, celle-ci fut surtout marquée en juin 1949, par la nomination de Roger Soin, ingénieur commercial.

 

En 1974, le groupe britannique Derek Hartle Limited, devenu actionnaire majoritaire,  entreprit de moderniser entièrement l'usine de Forest par la construction de nouveaux bâtiments plus confortables et plus rationnels que les anciens devenus vétustes. Le nouvel actionnaire s'efforça également de développer de nouveaux marchés aux côtés des fabrications traditionnelles. L' Orfèvrerie Wiskemann fut ainsi dotée d'un département spécialisé dans l'exécution de sculptures architecturales destinées aux secteurs privé et public et réalisées en acier inoxydable et acier corten, telles que la fontaine de la Tour du Midi ou la sculpture géante de l'esplanade du Crédit Communal (aujourdhui Dexia).Cependant, ce groupe britannique spécialisé dans les machines-outils connut rapidement des difficultés financières. Son plan de redressement toucha de plein fouet l' Orfèvrerie Wiskemann qui fit aveu de faillite en mars 1979.

 

La Région bruxelloise se porta acquéreur de la société en 1980. Le 11 avril, une nouvelle société fut créée sous le nom de Wiskemann S.A. en association avec deux autres orfèvreries bruxelloises. Détenue à 48 % par la Région bruxelloise, elle reprenait toutes les marques déposées par l'Orfèvrerie Wiskemann ainsi que ses bâtiments mais la tentative de redressement ne fit  long feu.

 

La faillite fut déclarée le 9 mars 1984.



 

Quatre pièces métal argenté du XIXème 1860/1880 du célèbre maître orfèvre

Victor SAGLIER. Estampille V S séparées par un voilier, pièces numérotées.

 

  

Théière : quadripode de forme néoclassique à décor de coquilles, fleurs, feuillages stylisées et joncs en torsade préfigurant le style Art nouveau.

 

Hauteur :21 cm

Diamètre : 13 cm

Poids : 630gr 

----------------------------------------------------- 

 

Sucrier : quadripode de forme néoclassique à décor de coquilles, fleurs, feuillages stylisées et joncs en torsade préfigurant le style Art nouveau.

 

Hauteur :16 cm

Diamètre : 12 cm

Poids : 430gr 

----------------------------------------------------- 

Pince à sucre : Patte Quatre griffes très grande élégance.

 

Longueur : 13 cm.

Poids : 60gr

 ----------------------------------------------------

Plateau de service : Belle brillance, très beau travail de ciselures.

  



Diamètre : 33cm

Poids : 1060 gr 

  ---------------------------------------------------

 



Victor Saglier actif entre 1842 et 1894 à Paris, à beaucoup travailler en collaboration avec les maîtres verriers et les créateurs comme Legras, Gallé, Majorelle .

 



Réf : 73YM35

Formulaire de contact